DANSER CANAL HISTORIQUE La surprise du chef arrive comme sur un plateau. (...) Hoche est un véritable entertainer de music-hall, chanteur autant qu'acteur de commedia dell'arte, clown, danseur, saltimbanque. Si bien que sa présence lui permet une liberté absolue quant aux sujets abordés. (...) Mais quand Hoche chante, c'est live et ça passe comme un grand jeté à l'Opéra. lundijeudi résonne telle une forêt de signes qu'on peut traverser pour s'y perdre à volonté et y vivre une aventure chorégraphique. (...) Une bête de scène, même en costume d'ours.
Thomas Hahn, septembre 2015
JUSTFOCUS.FR Une production lumineuse (...) qui figure un parcours chorégraphique personnel et ajusté avec tranches de vie et rythme enragé. (...) Visuellement et rythmiquement, le spectacle est criblé de pulsations qui vous percutent gaiement une heure durant. (...) L'extravagance sonne juste dans Lundijeudi. (...) Chorégraphiquement et à l'oreille, c'est jubilatoire.
THEARTCHEMIST.COM Sur le mode du Je me souviens, il passe en revue les trente dernières années de sa riche carrière artistique. (...) Une histoire de la danse, forcément incomplète et subjective, est à l'oeuvre dans ce lundijeudi. (...) Il propose par là-même, en filigrane, un état des lieux sans concession de la profession. (...) Tout un univers, toute une mentalité s'exposent sous nos yeux. (...) Non décidément Lionel Hoche n'a rien oublié de son passé, de son imparfait. Avec talent et énergie il nous le fait partager. Et c'est un pur bonheur! Et plus si affinités.
Dieter Loquen, 2 décembre 2015
THEATRORAMA La matière imaginaire du chorégraphe Lionel Hoche est un dialogue reposant sur diverses influences et technologies. Ici, une suite de Ravel se glisse doucement dans des contes de Perrault, là des éléments oniriques se chargent d'un symbolisme puissant, partout, des lieux naissent depuis des corps et des gestes depuis des couleurs, scellant ainsi l'alliance de la nature et de la culture.
1er décembre 2015
CCCDANSE.COM Ici pas de narration, juste l'essence du conte: le féérique, pour en tirer une version dansée onirique, poétique et loufoque. Tout de suite plongée dans le fantastique, la pièce joue habilement l'émerveillement en alliant les technologies numériques à l'artisanat des costumes. (...) Loin du spectacle jeune public facile jouant sur des rouages traditionnels, M.M.O déploie un univers bien singulier et une signature chorégraphique sophistiquée. Le temps de quelques saynètes, le jeune public sera captivé, le grand public enchanté.
7 décembre 2015
THEATREPASSION.COM Les Contes de Perrault sont revisités, et comme un livre d'images que l'on lit à un enfant, l'imagination est au pouvoir. Un beau spectacle qui ravit le coeur des enfants et de leurs parents.
30 novembre 2015
TELERAMA Le public est plongé dans un univers d'images féériques (très belle création vidéo et graphique de Claudio Cavallari) (...) le propos du chorégraphe Lionel Hoche est de recréer sur scène un espace du vivant, naturel, simple. Une belle alliance de musique et d'images pour cette fantasmagorie dansée qui sait jouer de l'humour.
Février 2016
TELERAMA SORTIR TT On aime beaucoup.
12 janvier 2016
SCENEWEB.FR Une galerie de figures et de créatures merveilleuses s'anime dans une forêt enchantée, organique et mystérieuse et amène la musique de Maurice Ravel sur un terrain fantasmagorique. Tout en tirant vers les mondes virtuels et en empruntant aux univers de la B.D. ou de l'animation, le projet croise, musique, danse, arts plastiques, vidéo avec délectation.
29 février 2016
LA TERRASSE Entre obssession et hallucination. Lionel Hoche est un chorégraphe romantique. (...) Flashville dilate un "flash amoureux" un délire de désir et de perte de soi. (...) Dans cette ville abstraite et changeante, chaque personnage semble se perdre, mais aussi se multiplier. Une réflexion sur la chimère , dont la mise en oeuvre, elle, n'a rien d'évanescent: dix danseurs, un orchestre. (...) Un tel projet est une prise de risque, un acte politique que l'on ne peut que saluer bien bas. La fragilité du rêve, manifestement est aussi porteuse d'audace.
Marie Cavanieux, février 2014
PARISDANSE.COM Véritable envolée lyrique, la musique s'empare littéralement des corps et de l'espace. Impossible de ne pas être subjugué par les silhouettes scintillantes des danseurs, la chorégraphie et la lumière magnifient les mouvements et offrent des tableaux hallucinatoires... (...) Avec Flashville, Lionel Hoche signe une création haute en couleur, chatoyante et poétique.
18 novembre 2013
LA TERRASSE La nouvelle pièce de Lionel Hoche prend la parti d'un monde fantastique, un entre-deux confiné aux frontières du réel. Cinq danseurs pour un monde à part, appuyé par des images vidéo et une musique tantôt planante, tantôt inquiétante. (...) La danse se faire caressante ou expressionniste, chargée de clins d'oeil et de références qu'elle croise et décroise.
Nathalie Yokel - Février 2011
LE NOUVEL OBS Grondements d'orgue, obscurité dramatique, silhouettes noires et anonymes, figures spectrales, blanches jeunes filles en robe vaporeuse, squelettes d'arbres torturés... Pour créer Entrelacs, Lionel Hoche a largement puisé dans le répertoire fantastique, dans ce néo-romantisme de la fin du XIXème siècle ou le début du XXème... Un onirisme échevelé.
Raphael de Gubernatis - Septembre 2010
SUD OUEST Entrelacs s'inscrit dans une esthétique fantastique plutôt classique, et disons le réussie, dans la droite ligne d'un « Dracula » de Murnau comme les films d'horreur des années 50 ou 60. (...) Laissons le temps à Lionel Hoche de nous emmener du côté obscur du monde, d'entrelacer le passé et le présent, la danse et le cinéma, en se promenant en funambule sur le fil de l'ironie et du beau. C'est un vrai défi.
Céline Musseau - 13 sept 2010
PARISART Derrière la forme légère qui flirte avec le cabaret ésotérique, Lionel Hoche se lance un défi considérable. (...) La force et la beauté de la proposition tiennent justement à sa sincérité et à sa justesse : la danse se niche dans la zone d'ombre que d'autres spectacles nous cachent soigneusement. (...) Lionel Hoche réussit cette création dans sa juste intuition d'une danse se donnant comme un liquide amniotique qui berce, chahute et nourrit ces images. Smaranda Olcèse-Trifan - 4 mars 2010
LIBERATION Pan! fait la chasse aux démons à Pantin. (...) Lionel Hoche fait figure de drôle d'Indien. Son spectacle (...) inspiré de la culture des indiens Hopis et met en scène cinq personnages carnavalesques - à moins qu'ils ne célèbrent une danse macabre. (...) Le corps alors se transforme et propulse des masques au bout de perches prothèses. Cela bouge à peine sur la musique électronique de Sébastien Roux; pourtant tout a de l'ampleur.
Marie-Christine Vernay, 9 février 2009
TÊTU PAN! est la synthèse revisitée d'une communauté où totems, masques et déguisements sont légions. Le plasticien Erwin Wurm a envoyé balader meubles et objets pour qu'ils s'encastrent au plafond. Une belle idée, énergique à souhait et non sans humour, comme Hoche nous y a habitués.
Oscar Héliani, Février 2009
DANSER La chorégraphie utilise largement le sol avec une belle qualité feutrée, la danse-contact, parfois les objets. Bien servie par l'aisance gestuelle des danseurs, joliment colorée par les costumes, elle s'inscrit de manière picturale sous la scénographie déversée. (...) Pan! nouveau Big Bang, montre les résultats de l'explosion avec son recyclage humoristique des biens de consommation.
Michel Barthome, Février 2009
PARIS ART Avec Pan ! Lionel Hoche nous propose une scénographie qui fait penser au surréalisme, tant par l'amas d'objets surprenants et inattendus, que par l'insolite de leur suspension dans l'espace, car les objets sont littéralement suspendus en nuée au-dessus de la scène. (...) Le chorégraphe démiurge a installé sa trame. (...) Le chorégraphe trouve une qualité de mouvement qui vient très heureusement conforter ce dispositif. La danse est le principe même de vie, le fluide, le flux qui irrigue ce monde. Elle est protéiforme, elle glisse, en perpétuelle composition et recomposition, entre l'informe et le défini, et joue sur les différents registres de l'organique. (...) Il exprime aussi l'étonnement engagé du chorégraphe face à la furie "des biens de consommation que notre société génère à une vitesse affolante.
Smaranda Olcèse-Trifan, Février 2009
DANZINE Cosmogonie du bric-à brac, PAN! de Lionel Hoche au CND. Des objets de consommation et du mobilier en apesanteur dans l'obscurité dessinent d'emblée l'univers cosmogonique de Lionel Hoche. (...) Comme inspirés par des forces invisibles, les interprètes au vocabulaire et à la technique foisonnants, sont soulevés, déposés, avec sensualité, dans une logique qui rappelle celle des bidules qui les entourent. (...) L'illusion est totale, la magie opère à merveille. Thamin Abdesselam, 12 février 2009
TELERAMA ça pétarade, ça ravive des émotions d'enfance lointaines, ça donne envie ! (...) Une explosion de costumes incroyables imaginés avec trois fois rien, de couleurs flamboyantes. (...) ça pète vraiment. Rosita Boisseau, 6-12 mai 2009
UN SOIR OU UN AUTRE.COM Lionel Hoche enchante. (...) On pourrait oublier hadopi et toute la technologie, se nourrir de la mythologie de ces nouveaux indiens hopis. (...) Tableau après tableau, le monde pourrait se re-coloriser, les équilibres encore balbutiants et fragiles, les rêves encore en péril. (...) Un esprit aérien viendrait lentement explorer la salle, ailleurs d'un coup tous les lustres s'illumineraient. Le temps redeviendrait circulaire, il y aurait des télescopages d'errances ivres, d'effusions de rythmes, de danses vives, d'apparitions surnaturelles, d'exubérances hallucinées, de combats de guerriers, et dans l'ombre des sacrifices. L'imaginaire retrouverait son développement durable, on pourrait rêver avec eux.
Guy Degeorges, 17 mai 2009
ECRANS DE DANSE Jeux subtils de lumières, scénographie inventive et efficace, tout concourt à interroger notre rapport aux objets, à leur faire recouvrer leur pouvoir magique, vivant. (...) Un voyage onirique, un univers entre la brocante et le conte, enfin une survivance magnifiée des indiens Hopis. (...) On retiendra la qualité hautement poétique des images, la plasticité des corps dansants, enfin le jeu subtil de la trouvaille. (...) On applaudit, on est heureux du voyage, nous reste plus tard quelques fulgurances heureuses dans les yeux. Edwige Phitoussi, mai 2009
LA TERRASSE Tout d'abord un solo, en accord avec un musicien, et plus exactement un flûtiste, Benoît Toïgo qui se prête au partage scénique (...) dans un dialogue saisissant de complicité en faisant fusionner leurs registres. (...) Une forme de concert danse saisissant de sincérité et d'écoute artistique. Lionel Hoche relance à travers cette pièce, un réel langage de danse qu'on avait cru perdu, du moins chez certains autres chorégraphes actuels. Lionel Hoche s'entoure de deux autres danseurs qui manipulent de curieuses boites à taille humaine. (...) Le trio se trouve comme dynamité par des états de latence alternant avec de belles parties de corps à corps.
Emerentienne Dubourg
THE NEW YORK TIMES Puiser le meilleur du mouvement. Lionel Hoche s'est démarqué d'autres chorégraphes français lors du festival France Moves, qui s'est tenu à New York en 2001. Contrairement à beaucoup de ses contemporains, son travail démontrait une recherche tournée vers la composition formelle et le mouvement, plutôt que vers la théâtralité. Cette soif d'inventer d'autres langages chorégraphiques était toujours évidente dans son Sacre du Printemps. (...) Une version en costumes modernes qui ne comprend que cinq danseurs et qui rappelle Huis Clos de Sartre dans cette manière intimiste d'analyser les rapports qu'ont les personnes envers elles-mêmes et envers les autres. (...) Une théorie du mouvement "domino". (...) Nous y rencontrons des images d'enlèvement, des furetages bestiaux, des corps s'effondrant ou se culbutant, accompagnés de gestes tranchants.
Anna Kisselgoff, le 19 juin 2003
THE DANCE INSIDER Le printemps industriel de Lionel Hoche. Le Sacre du Printemps de Lionel Hoche égalise la partition débaucheuse de Stravinsky avec une énergie féroce. (...) Hoche réussit à créer des images primales de l'homme et de la femme, du prédateur et de la proie, dans de mouvements de groupe frénétiques et violents. (...) La danse appelle une réponse tellement extraordinaire et viscérale à ses crescendos infatigables de mouvement brutal que l'on se sent aussi essoufflé et vidé de toute énergie que la victime s'écroulant quand les lumières disjonctent avec le noir final.
Maura Nguyen Donohue, juillet 2003
THE VILLAGE VOICE Le corps parle. Dans Le Sacre du Printemps, les cinq interprètes se ruent, leurs bras s'emmêlant autour de leurs corps, les pliant à l'intérieur.(...) Etant des splendides interprètes, ils nous domptent en nous faisant croire qu'ils parlent ce langage chorégraphique couramment. (...) Hoche a choisi la version pour deux pianos de cette grande partition de Stravinsky pour nous imaginer une fête aux enfers. (...) Cette vision est peut-être moins celle d'un rite primal de fertilité que celle du violent passage à l'âge d'adulte d'une fille dans l'ambiance narcotique et bestiale d'une antre moite.
Deborah Jowitt, 9 au 15 juillet 2003
THE BERKSHIRE EAGLE Hoche intègre parfaitement les principes de la mécanique, des pivots, des axes et de la charnière. Il s'agit d'une danse envoûtante, construite, presque soudée ou forgée sur les corps des danseurs. (...) Hoche nous tient, nous fascine. Il croît en ce qu'il fait, et le respect avec lequel il travaille sa matière en est sans doute la cause. (...) Et nous l'aimons car il porte une attention particulière au détail, à chaque détail, à l'écoute du corps, à sa vision du corps dans l'espace, au fonctionnement du corps dans l'espace délimité, à la lumière, avec et sans la couleur, à l'ornement, dans et en dehors de la musique.
Allison Tracy, 28 juin 2003
CRITICALDANCE.COM La sonorité "noir et blanc" de la partition pour deux pianos du Sacre du Printemps de Stravinsky appuie l'ambiance sobre déployée à la scène par la lumière, comme dans une cathédrale. La singularité des sept luminaires-néons suspendus, pendus de manière asymétrique à peine au-dessus du niveau du sol par des câbles qui se perdent dans les poutres, magnifie l'espace scénique.
S.E. Arnold, juin 2003
LA TRIBUNE LE PROGRES Lionel Hoche demande à ses danseurs un fort investissement physique et une exploration de leurs abysses intérieures. Brûlant du feu des attractions souterraines, se heurtant ou se pliant aux pulsions viscérales, MéMé BaNjO traduit les méandres de la psyché par un travail corporel énergique basé sur la dynamique de groupe et ses rapports intrinsèques. L'électricité est dans l'air, jusqu'au paroxysme.
Claudie Léger, novembre 2002
TELERAMA La chorégraphie de Lionel Hoche se construit à partir de ces rapports de séduction, de ces relations conflictuelles, de ces attirances-répulsions inhérentes au groupe, à la manière d'un rite initiatique.
janvier 2003
LIBERATION Versants fait sensations... Dans ces variations sur le désir et le regret, toutes disciplines confondues sur le plateau, on retrouve bien des qualités que l'on avait déjà aimées chez Lionel Hoche. La gestuelle tout d'abord, qui dérègle un classique trop ordonné. Si un membre s'étire en un port élégant, il est dans le même temps désavoué par un bras qui pend lamentablement. Il en va de même des chutes qui cassent les élans, des beaux passages au sol qui sont l'autre versant des classiques ensembles verticaux, d'un accent baroque dans un poignet qui contredit quelques blocages de l'articulation du genou.
Marie-Christine Vernay, 20 janvier 2000.
LES SAISONS DE LA DANSE Précieuse bizarrerie Ce pourrait être une chambre blanche au sol rouge avec une sorte de guérite dans le coin de gauche. Des silhouettes de personnages bizarres se découpent en noir sur les murs tandis que d'autres silhouettes se détachent dans le noir, comme des ombres furtives. Les danseurs sont immobiles, tels des statues. La scène s'anime, la danse est véloce et complexe. (...) Versants laisse une impression tenace de bizarrerie précieuse au vocabulaire riche et aux images fixées dans la rétine.
Gallia Valette-Pilenko, février 2001.
LA TRIBUNE LE PROGRES Vertige des mots, vertige des corps... Le puzzle est étonnant, audacieux, faisant de Versants une oeuvre complexe, très soignée, jusqu'à dans les subtils jeux de lumières de Mikki Kunttu, sculptant la chorégraphie. Voilà un travail fort original au service d'une danse inventive, où MéMé BaNjO, composée de personnalités très différentes, trouve cependant son homogénéité.
Claudie Léger, 19 décembre 2000.
LE MONDE Cinq danseurs au diapason articulent une danse savante - postérieurs en l'air, hanches qui roulent et bras qui moulinent en tous sens. L'écriture de Lionel Hoche avance une virtuosité évidemment destructurée où les corps sont toujours au bord du déséquilibre, chutent au sol dans des figures acrobatiques fluides. Imbriqués les uns dans les autres, ils s'ajustent comme des pièces de puzzle. Cette danse-relais (...) met en valeur l'énergie traversant la scène et entretient un dialogue léger entre les parties du corps plus secrètes. Lionel Hoche ne manque pas de munitions.
Rosita Boisseau, 20 février 2001.
EUROPEAN DANCE NEWS La petite mélodie de Lionel Hoche Plus qu'un style, Lionel Hoche a réussi à laisser longtemps dans l'oeil et même l'oreille du spectateur une petite mélodie tranquille, faite de souvenirs subtils de choses vues, d'instants de danse particulièrement beaux et nouveaux, sortis de sa seule imagination. (...) On ne s'ennuie pas une seconde tant tout est parfaitement réglé, huilé, avec audace, fantaisie et un savoir-faire angélique. Lionel Hoche est un chorégraphe d'exception qui ne copie personne.
Michel Odin, février 2001.
PETITES AFFICHES LYONNAISES Pas cloche, le Hoche Un opus très emblématique du travail de ce chorégraphe touche-à-tout (...) où la gestuelle très sophistiquée, mais sans emphase, privilégie le poids du corps, le lâcher et l'oscillation permanente entre équilibre et déséquilibre. Verska explore les diverses possibilités du corps en donnant à voir (et à ressentir) le désordre du monde. (...) Sobres et magnifiant les corps, les lumières de Lucy Carter contribuent à installer une ambiance plastique sans sombrer dans l'esthétisme à outrance (...). Un univers délicat et raffiné qui mérite le coup d'oeil.
Gallia Valette-Pilenko, 1/7 juin 2002.
LYON FIGARO Tout a commencé par Verska de Lionel Hoche Bande-son techno, costumes d'esprit seventies et succession de mouvements suscités par l'autre. (...) Mais aussi travail sur le temps de pause (...). L'écriture chorégraphique est claire, construite de façon architectonique. Et Lionel Hoche refait une entrée remarquée lors d'un solo, où sa présence s'impose immédiatement.
Agnès Benoist, 15 juin 2002.
LA PROVENCE Danser un concerto pour cordes et clavecin de Bach en short et marcel, sous un mobile de notes suspendues, ça c'est Lionel Hoche ! Cinq gars costauds, dont le chorégraphe lui-même, parfois dansent d'un seul corps à l'unisson, souvent font chacun ce qui leur plait. (...) C'est beau et joyeux à mourir, insolent, rayonnant, jubilatoire... C'est profane et sacré, comme la musique de Bach.
Danièle Carraz, 29 février 2012
THE NEW YORK TIMES Dans Volubilis un mobile botanique est suspendu au-dessus de la scène et le mouvement riche déborde de liberté.
Anna Kisselgoff, 27 avril 2001
THE VILLAGE VOICE Ingénieux, passionnant, et tout à fait déstabilisant!
Deborah Jowitt, 9 - 15 juillet 2003
THE BERKSHIRE EAGLE Les danseurs retiennent des sourires dans la joie de Volubilis, leur corps se précipitant, exubérants, baignant dans le technicolor.
Allison Tracy, 28 juin 2003
LA TRIBUNE LE PROGRES (...) un pur joyau exaltant la danse.
Claudie Leger, 8 novembre 2002
LYON FIGARO Volubilis, dont la poésie et la danse fluide servent désormais de signature de la compagnie MéMé BaNjO.
Agnès Benoist, 5 novembre 2002
LE NOUVEL OBS (...) Uune très jolie pièce...
Raphaël de Gubernatis, 31 mai 2001
TELERAMA Asymétries, déséquilibres, lignes brisées, Lionel Hoche organise une joyeuse disharmonie sur un concerto de Bach dans Volubilis...
J. Pailley, décembre 2000
L&A THEATRE (...) une recherche originale de suavité élégante et subtile.
Martin C., décembre 2000
LIBERATION Les danseurs se lovent dans des phrases chorégraphiques peu tapageuses respirant sur un concerto de Bach et suspendue comme un mystère sous un mobile qui a des allures de libellules.
Marie-Christine Vernay, 14 novembre 2000
LE FIGARO La construction en est vivante, le vocabulaire original, pimenté de charmants petits gestes des mains et des bras. (...) Un amusant travail de déstructuration et d'équilibre.
René Sirvin, 11 et 12 novembre 2000
L'HUMANITE La ligne demeure frontale comme dans la tradition, mais la géométrie corporelle se complique à dessein. C'est très ludique. Le bas du corps, littéralement s'amollit comme les montres de Dali, tandis que le haut obéit, jusqu'au bout des doigts, à la plus grande rigueur.
Muriel Steinmetz, 11 novembre 2000
L'EST REPUBLICAIN Une chorégraphie qui s'enroule, avec délectation, sur la musique du concerto pour clavecin et cordes en ré mineur de Bach.
Didier Hemardinquer, 8 novembre 2000
LA MONTAGNE Le symbole botanique, sous forme d'un immense mobile, ne laisse pas place au doute. Les arabesques corporelles pas davantage. La plante croît en un fin réseau d'élans contrariés, de courses parallèles et d'étreintes fugaces.
R.D., janvier 2000
TELERAMA Volubilis est une pièce claire, aérée, qui court vers Bach par des chemins de traverse; une danse buissonnière pour quatre garçons dont les qualités se complètent.
J.C. Diénis, juillet / août 1999
HET FINANCIEEL DAGBLAD Volubilis est une pièce esthétiquement exceptionnelle, à l'atmosphère très douce, elle prend tout spécialement appui contre la très stricte musique de Bach.
janvier 1997